Rencontre un jeudi après-midi en avril au siège de Valiant à Berne. David Naki dit au revoir à une cliente dans le hall des guichets avec un sourire radieux; il a désormais du temps à consacrer à un entretien. «J’apprécie vraiment le contact avec les clientes et les clients», déclare-t-il. «Surtout quand je parviens à les aider sur des problèmes assez complexes et à créer de surcroît de la valeur ajoutée.»

Stage bancaire après la maturité

Cet habitant de Guin a pris ses fonctions de conseiller dans la zone clientèle en février. Auparavant, il avait accompli le stage de 18 mois «Formation bancaire initiale pour porteurs de maturité» (BEM) chez Valiant. Ce modèle de formation est une introduction pratique aux domaines Paiements, Épargne, Placements et Financements. «C’était extrêmement sympa!», se souvient David Naki. «Au cours de cette période, j’ai acquis une vision plus approfondie des différents départements et j’ai été vraiment emballé par le domaine bancaire. Les nombreux cours internes et externes étaient passionnants. J’ai trouvé bien que nous ayons changé plusieurs fois d’emplacement. Aussi parce que de nombreux contacts peuvent être noués de cette façon.»

Avec l’AG pour l’entraînement à Lausanne

Pour David Naki, l’AG à prix réduit, dont bénéficient les personnes en formation chez Valiant, a été une vraie plus-value. En effet, à 21 ans, il est membre de l’équipe d’athlétisme suisse et voyage plusieurs fois par semaine de Berne à Lausanne et à Guin pour s’entraîner. Ses principales disciplines sont les sprints sur 100, 200 et 400 mètres. Et ses meilleurs temps? «10,63 secondes sur 100 mètres et 21,16 secondes sur 200 mètres.» La réponse fuse. En 2022, David Naki a été vice-champion suisse sur 200 mètres. Les Jeux olympiques de 2028 à Los Angeles constituent son objectif à long terme. 

Des conditions de travail arrangeantes

David Naki accomplit en tout sept à huit séances d’entraînement par semaine. Comment peut-il les concilier avec sa profession? «Valiant me permet de travailler avec un taux d’occupation de 70%», répond-il. «Et mes supérieurs et collègues comprennent que je termine mon travail à des heures précises pour attraper mon train et partir à l’entraînement.»

Pendant le déplacement, David Naki effectue des tâches administratives sur son ordinateur portable, par exemple la rédaction de demandes de parrainage. Un quotidien mené aussi tambour battant n’est-il pas tout de même rude? «C’est une question de motivation et de discipline», explique David Naki. «Je sacrifie volontiers mon temps libre pour la passion du sport.» En outre, il veut toujours apprendre, s’améliorer et gagner dans tout ce qu’il entreprend. «Et c’est ainsi que je fonctionne dans mon travail. Je suis plutôt perfectionniste et je ne me déclare satisfait que lorsque j’ai trouvé la meilleure solution pour mes clientes ou clients.» Puis, il jette un regard à la dérobée sur l’horloge. Compris ! En route pour l’entraînement à Guin. Le RegioExpress part dans quelques minutes.

Plonger dans le monde de la finance avec un apprentissage ou un stage

Trois questions à Samuel Lanz, responsable Formation de base chez Valiant:

Quelles sont les opportunités offertes par Valiant pour entrer dans le monde professionnel?

Chaque année, environ 30 jeunes talents commencent leur apprentissage en tant qu’employé·e de commerce CFC, agent·e relation client CFC, médiamaticien·ne CFC, ou le stage d’une année Services et administration ainsi que le stage BEM («Formation bancaire initiale pour porteurs de maturité»).

Qu’offre Valiant aux personnes en formation?

Fondamentalement, une activité très variée. Nous les intégrons dans l’équipe dès le début et les laissons prendre des responsabilités. Le programme de formation interne «lilas fit», comportant jusqu’à seize cours, leur enseigne ce dont ils ont besoin pour le monde du travail lilas. Nous savons que les personnes en formation apprécient l’atmosphère familiale de Valiant. Le fait que les apprenti·e·s de commerce de troisième année peuvent choisir où ils/elles veulent obtenir un tour d’horizon, que cela soit dans une autre région linguistique ou aussi dans le département des ressources humaines, est aussi très apprécié. En outre, il existe des conditions de travail attrayantes en termes de rémunération, de vacances et d’AG à prix fortement réduit.

À partir du 1er juillet, il est possible de postuler chez Valiant pour 2024. Avez-vous des conseils à partager?

Nous sommes à la recherche de personnalités créatives et curieuses par nature, qui veulent apprendre et faire bouger les choses, qui sont déterminées et aspirent au succès. Quiconque veut postuler chez Valiant consulte de préférence notre page Internet ou participe à l’un de nos événements d’information. En 60 minutes environ, nous y présentons Valiant et les différentes options de formation. Des apprenti·e·s se tiennent à disposition pour répondre aux questions.

Plus d’informations: valiant.ch/formationdebase